5 - Un MRI déterminant
Mardi 29 mars – Francesca de la clinique privée, une perle du service à la clientèle, communique directement avec Dre Laberge (en mon nom) pour obtenir mes derniers résultats sanguins et planifie mon MRI pour le lendemain.
Mercredi 30
mars – Me voilà à nouveau dans ce tube métallique au son de marteau-piqueur
(c’est une troisième expérience pour moi – résultat de mes blessures de
guerre). Il faudra cependant injecter du gadolinium dans une veine pour créer
un contraste sur les images; ça, c’est une première. Il n’est pas étonnant que
les gens n’aiment habituellement ni l’engin, notamment s’ils sont
claustrophobes, ni le bruit, qui n’a rien de rassurant. La polisseuse tonitruante du bureau du
dentiste vous vient en tête? Dans le
tube, parfois, le martelet cogne tout doucement comme le pic-bois déterminé à
creuser l’écorce pour se nourrir d’insectes; et parfois, le marteau-piqueur rageur
se fait entendre et rappelle le pouvoir destructif de l’outil. Combiné à la sensation d’être littéralement
coincés, je comprends que pour certains cela puisse être bien pire que chez le
dentiste. Je suis peut-être l’exception à la règle, mais moi, le son de ce
marteau au rythme changeant me berce et m’endort. Allez savoir!
(https://science.howstuffworks.com/mri.htm)
Comme la dernière fois, on me dit que les résultats seront envoyés rapidement à mon docteur; probablement vendredi. Je pars tout de même avec une copie CD, tel que demandé par Dr Aoude.
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